Profitant de son 30 è anniversaire à la tête de son groupe qui fut fêté au siège historique de l’entreprise à Ergué-Gabéric, Vincent Bolloré a récemment annoncé un investissement à la hauteur de 250 millions d’euros dans une nouvelle usine de production sur son site finistérien.
En plus de cela, l’investissement devrait générer 350 emplois, d’où l’enthousiasme des députés de cette région.
Le président du groupe renforce donc sa décision de faire du Finistère l’un des pôles industriels les plus forts sur le territoire français.
La construction de cette nouvelle usine devra principalement assurer la production de batteries destinées à la Blue Car ainsi qu’aux autobus électriques qui seront construits grâce au partenariat avec l’entreprise Guau de Laval. Le Groupe Bolloré à aussi précisé que cette usine produira des batteries destinées au stockage d’électricité pour des maisons.
Les travaux de constructions de l’usine, qui mesurera 35 000 m2, commenceront en janvier de l’année prochaine. Cette usine est considérée comme une extension qui complètera le site qu’occupe batScap, qui a une capacité de production de 3 000 batteries par an.
Le Groupe Bolloré possède aussi une usine de production de batterie près de Montréal au Québec qui avait reçu un investissement à la hauteur de 76 millions d’euros.
Du côté des députés finistériens, c’est la grande joie, car ce projet ne permettra pas seulement de faire baisser le taux de chômage, mais aussi enraciner cette région dans les activités industrielles.
C’est bien de construire des usines (et de toucher le pactole au passage…) mais nous aimerions surtout voir le bout du capot de la Bluecar…
Cette attente est à mon goût trop longue.
Je trouve aussi super long la mise sur le marché pour le grand public de la blue car. je crois que le risque de se prendre un « couac » est réel et vu l’investissement financier Bolloré avance à petit pas…………Je pense qu’il va se faire doubler par la concurrence et que le rêve (voiture très belle au départ) va tomber pour arriver a des voitures esthétiquement trop proche du parc actuel, sans saveur, sans réel autonomie ou avec un réseau de concessionnaire et bornes de « recharges » à pleurer d’impatience ! Signé un breton.