En dépit des aides gouvernementales pour favoriser le développement des véhicules électriques, la technologie reste de nos jours très coûteuse par rapport aux moteurs thermiques diesel ou à essence.
La technologie électrique encore trop chère
La voiture électrique souffre des coûts élevés de production qui limitent son développement sur le marché automobile. En effet, comparé aux modèles à moteurs thermiques, ce type de véhicule possède une moindre autonomie, utilise des batteries dont le prix reste exorbitant dont le temps de recharge demeure trop long. Steve Chu, alors chargé de la question de l’énergie en 2010 au sein du gouvernement américain, avait à l’époque souligné ces handicaps et avait clairement déclaré que les constructeurs devraient augmenter de 15 ans la durée de vie des accumulateurs, améliorer leur autonomie et diminuer leur prix de vente. C’est en suivant ces recommandations que la technologie pourra s’aligner économiquement sur les moteurs à explosion, a déclaré le responsable américain.
27 700 $ pour une Leaf
Afin de favoriser le développement des voitures électriques, le gouvernement des États-Unis a depuis multiplié les aides et les subventions en direction des différents constructeurs qui ont investi dans les technologies vertes. Ainsi, Fisker, Tesla ou encore d’autres firmes automobiles telles Nissan ou encore GM ont pu développer chacune de leur côté leur gamme d’offres en matière de véhicules électriques grâce en partie au soutien financier de l’État fédéral américain. Les aides ainsi octroyées avaient pour but de diminuer les coûts de production et de permettre de vendre les modèles concernés à des prix pouvant concurrencer ceux de leurs concurrents thermiques. Hélas, les véhicules verts coûtent toujours aussi cher en dépit des avantages fiscaux accordés, avec un prix avoisinant les 27 700 $ par exemple pour une Leaf. La technologie n’est hélas encore accessible qu’à une minorité d’acheteurs dans le revenu moyen par ménage est de 140 000 $ annuel.
m montebourg nous dit que les voitures electriques vont etre abordables pour les gens modestes apres deduction de la prime ecologique. Mais il n’est pas dans la réalite. Voiture électrique renault ou peugeot vendue entre 22 000 et 24 000 euros primes deduites plus location mensuelle pour les batteries. Impossible d’acheter pour beaucoup de gens. ces gens vivent dans un autre monde
quand nous feront-ils autre chose que des delires de designer ou des super cars que personne hormis une infime minorité peuvent s’offrir
pour être viable la voiture électrique doit être simple ,économe , avoir une bonne autonomie et avoir un cout raisonnable mais ça ………
Bonjour,
je pense qu’il serait possible d’augmenter l’autonomie des VE avec des accessoires type éolienne a axe vertical embarquée couplé a de puissants alternateurs plus panneaux photovoltaïque et alléger le poids au maxi le véhicule ne serait pas autonome mais son autonomie bien augmentée.Mais les constructeurs auto n’ont aucun intérêt a développer ces véhicules car de quoi vivraient t’ils car leurs revenus proviennent principalement de l’usage du moteur et déjà sur les VE ils louent la batterie il faut bien une rente!!!
Mais tout cela n’est qu’une opinion personnelle
la motorisation électrique est bien moins chère que la thermique, la carrosserie et l’habitacle sont strictement au même prix que leurs homologues thermiques, seules les batteries sont plus chères mais alors pourquoi avoir des coefficients de 3 ou 4 fois le prix d’achat ?
Bonjour. Permettez moi de réagir à votre article. Une comparaison entre le revenu annuel et le prix de vente d’un véhicule (quelqu’il soit d’ailleurs) me semble impertiente car qui achète encore cash sa voiture. En général, les particuliers prennent un crédit pour ce genre d’achat. Surtout aux Etats-Unis où le crédit est roi. Ensuite vous ne mettez pas en perpsective l’économie réalisée par un VE par rapport à la consommation d’un véhicule thermique mais c’est un autre débat j’en conviens. Votre article ne me semble pas faire avancer le débat, mais juste s’ériger contre le VE.
Que les voitures électriques soient chère, ça fait l’affaire de la haute finance, ça leur permet de vendre leur gas et leur pétrôle. Pour trouver une solution aux batteries, ils ont juste à engager Pierre Couture ex ou enployé d’Hydro Quebec. En 1994 le problème de batteries était règlé. Mais tout l’affaire a été étouffée.
Et si on supprimait les gadgets et colifichets de ces nouvelles voitures ?
Ce n’est qu’une question de temps avant que la tendance s’inverse.