Mobilité électrique : la création du premier réseau de recherche sur les batteries

Le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a récemment annoncé une nouvelle qui devrait permettre une plus grande percée dans le domaine de la mobilité électrique. En effet, cette institution gouvernementale française a dévoilé la création du premier réseau de recherche et de technologie sur les batteries, qui devrait voir le jour cet été.

Cette nouvelle a été accueillie avec beaucoup d’enthousiasme car l’un des principaux problèmes de la voiture électrique est bel et bien la batterie (coût et autonomie).

Le principe de ce nouveau réseau est de réunir plusieurs acteurs de la recherche publique, notamment CNRS, CEA, IFP, INERIS et LCPC-INRETS, mais aussi ceux du privé, grâce à l’ANCRE (l’Alliance nationale de coordination de la recherche pour l’énergie). L’objectif du regroupement sera d’accélérer le niveau de développement et d’innovation dans le domaine de la batterie et il aura aussi pour tâche de répondre à la demande de plus en plus croissante envers les batteries, un effet direct de l’augmentation de la production et de la commercialisation de véhicules électriques.

Questionnés à propos de ce réseau inédit en France, les principaux concernés affirment que grâce à ce système, le transfert des connaissances des laboratoires vers l’industrie elle-même prendra beaucoup moins de temps, car il existera beaucoup plus de partenaires qui s’attèleront à cette tâche. Selon les premières informations recueillies, le réseau sera basé sur deux centres de recherche ; le premier sera chargé d’explorer les nouveaux concepts de batteries ainsi que les matériaux à hautes performances tandis que le second sera chargé de tester et de valider les concepts présentés par le premier centre.

source : caradisiac

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