Malgré une part encore minoritaire, le segment des voitures rechargeables et tout électriques commence à prendre du volume aux États-Unis ces derniers mois. En France, les constructeurs auront encore des efforts à fournir.
Les voitures électriques à la conquête du marché US
Après un démarrage timide en 2011, le marché des véhicules hybrides ou 100 % électrique commence à prendre son envol aux États-Unis, selon les dernières statistiques publiées par les statistiques. En effet, ces derniers font état de 42 000 voitures rechargeables entre janvier et juin, soit le double des ventes au premier semestre de l’année dernière. La plus belle performance a été signée par General Motors, le géant américain ayant écoulé 8817 unités de son hybride Chevrolet Volt sur les six premiers mois, dépassant ainsi le nombre de ventes sur l’ensemble de l’année 2011.
Toyota tire également son épingle du jeu, réussissant à vendre 4300 de sa nouvelle Prius commercialisée depuis mars. La firme nippone compte désormais 26 000 véhicules électriques et hybrides vendus en Amérique au 30 juin, contre 5 705 immatriculations un an auparavant. L’envol du secteur électrique profite même aux constructeurs de voitures haut de gamme, notamment Tesla Motors et Fisker Automotive. Malgré des prix allant de 50 000 à 105 000 $, voire plus, les sportives et berlines électriques des deux marques se sont vendues à au moins un millier d’exemplaires.
L’Europe et la France en retard ?
Le marché européen ne peut pas se targuer d’avoir les mêmes statistiques. En dépit de l’affluence de nombreux modèles hybrides et tout électriques sur le Vieux-Continent, le secteur pâtit encore du scepticisme des acheteurs européens vis-à-vis de la fiabilité de la technologie électrique, de ses performances et notamment du prix encore trop élevé.
La France semble particulièrement concernée par ce retard. Seules 112 voitures 100 % électriques furent immatriculées sur le territoire en juin. Même si les observateurs attendent un rebondissement du secteur avec l’arrivée de la Renault Zoé d’ici la fin d’année, ils n’en restent pas moins pessimistes sur la croissance du domaine des VE au long terme.
rien d’étonnant quand on voit le genre de questions des moutons Gas oil, »on la branche où? ». Ignorance totale du prix du KWH. Il faudrait 500kms d’autonomie! (pour allez au boulot et au pain). J’ai même eu: « c’est quoi l’autonomie? » pas mal pour un Bac +5!
On est pas prèt de battre les Japonnais et autres!
Le secteur pâtit encore du scepticisme des acheteurs européens … Cqfd
On la branche n’importe ou … C’est pas fait pour ceux qui habitent en appart sans parking.
Faut pas penser que: on roule, on fait le plein en 5 minutes et hop c’est reparti. Ici le plein dure quelques heures.
(la techno est nouvelle il y a encore de limites).
Le prix du kwh c’est celui de votre appart/maison. Le moteur d’une voiture électrique à une puissance de 30 à 40 Kw
L’autonomie, oui c’est pas élevé mais la voiture électrique c’est une deuxième voiture celle maison/boulot/maison.
Actuellement if faut tabler 100 à 150 Km pour la meilleure (BlueCar)
Le soir on charge la voiture à la maison, la journée si le trajet dépasse 50/75 Km il faut prévoir une recharge au travail (1 à 2 euro par jours)
Et donc, on la branche où?
En effet, l’Europe est trop intoxiquée par le mazout et ses habitants pas prêt à changer leurs petites habitudes, tellement les Européens sont ultra-conservateurs en matière de mobilité, alors que la voiture électrique pourrait convenir à la grande majorité. Reste son prix, encore franchement trop élevé. Mais voilà: ceux qui pourraient se l’acheter (ou une hybride rechargeable) préfèrent leurs sempiternelles premiums teutonnes pour le même prix. Triste mentalité…
Bolloré l’a très bien dit : la voiture électrique ne peut concurrencer un véhicule thermique et son utilisation doit être urbaine et périurbaine. Qu’a-t-il fait pour cela ? Autolib tout d’abord pour Paris et sa petite couronne. Cela rajoutera 3000 voitures dans Paris mais il y aura autant si non plus d’abandon de voiture pour les parisiens. Et les autres ? Un exemple type : père de famille avec maison à 60kms de Paris, en campagne et sans transport en commun. Il n’a pas les moyens d’acheter unse seconde voiture et utilise sa familiale diesel soit 120 kms A/R quotidien 8l au cent soit 9,6l à 1,40 euros soit 270 euros mensuel. Bolloré proposait une location assurance et entretien inclus à 330 euros mois plus 1,50 euros electricité jour soit 30 euros = 360 euros mois. Si vous comptabilisez l’usure de sa familiale diesel ce père de famille a tout intérêt à choisir la bluecar mais à condition d’avoir une autonomie été comme hiver de 120 kms mini.
Mais il faudrait que Bolloré investisse car à 330 euros mois l’amortissement sera long. Voilà la solution : location d’une autolib pour Paris et proche banlieue location d’une bluecar pour périurbain jusqu’à 80 kms de Paris.
Devant les incertitudes sur l’électrique (cf Nissan et ses problèmes d’usure de batteries sur la Leaf) c’est pour l’instant, et de loin, la meilleure solution.
carole bjr vous ecrivez nimporte quoi ! la volt ou la ampera n’est pas une voiture electrique mais une hybride.une voiture electrique na pas de pot d’echappement.et la volt et la ampera en ont.la france cest le 1er marché de la voiture electrique en europe devant l’allemagne alors je vcus en prie arretez de mentir ou je vous traine devant la justice pour diffamation et calomnie. il faudrait comptabiliser les renault kangoo ze les bolloré autolib et les renault twizy.pauvre c#### s#### p#### [INSULTES MODÉRÉES CAR NON PERMISES]
Alors Ger, on est un petit peu énervé?
Dites ger, ça vous prends souvent d’insulter les gens gratuitement?? J’espère que votre post sera effacé illico!